Les déchets plastiques des cabinets dentaires et d'orthodontie

Garantir la protection des personnes est une mission quotidienne pour vous, dentistes et orthodontistes. Votre activité de soins mêlée au respect des mesures d’hygiène vous amène à consommer du plastique.

Les déchets plastiques non dangereux sont nombreux : emballages plastiques, sachets de stérilisation à usage unique, équipements non-tissés (masques, blouses), mais aussi : plateaux, gobelets en plastique ; sans compter les plaques pour aligneurs en plastique utilisées par les orthodontistes qui peuvent être recyclées.

Combien de déchets plastique consommez-vous ?

Notre expérience professionnelle a montré qu’un cabinet dentaire composé d’un dentiste et d’une assistante dentaire consomme en moyenne 200kg de déchets plastique par an.

De plus en plus soucieux du développement durable, les dentistes et orthodontistes souhaitent avoir un cabinet éco-responsable et n’hésitent pas à le communiquer à leurs patients.

Votre mission de santé ne s’arrête pas à la porte de votre cabinet, préservons la santé des Hommes et celle de notre planète en recyclant vos déchets plastiques.

Trier ses déchets

Une obligation pour les dentistes et orthodontistes

Depuis juillet 2016, le ministère de la transition écologique a mis en place un décret obligeant les professionnels à trier leurs déchets ; Ils s’agit du tri 5 flux des déchets (cartons/papier, métal, plastique, verre, bois…).
En savoir plus

Vous aviez l’habitude d’aller en déchetterie ?
de jeter dans les poubelles ménagères classiques ?

Les poubelles ménagères classiques sont enfouies, voir incinérées, ce qui entraine des pollutions.

Pour répondre à la réglementation de 2016, les cabinets dentaires doivent faire appel à un prestataire de collecte. Ce dernier se chargera de vos déchets et vous fournira une attestation de collecte et de valorisation de vos déchets. La preuve pour vous, que vous respectez bien ce décret (en cas de contrôle).

Ne perdons plus de temps, opérons la transition écologique !

Une préoccupation écologique